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PROPOSITIONS POUR UNE REFORME DE LA SANTE

 

Ce document est un plaidoyer en faveur d’une réforme en profondeur du système de santé en France, rédigé par Hervé Gastinne en novembre 2024. Il dresse un état des lieux critique du système de santé actuel, met en lumière ses dysfonctionnements, et propose des solutions pour l’améliorer.

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Constat alarmant du système de santé

• ·Augmentation des dépenses de santé : 247 milliards d’euros en 2021, soit 12,4 % du PIB. (les plus élevées d’Europe) Cumul du déficit de 38,7 milliards depuis 2013

• ·Cette tendance va s'accentuer, car d'ici à 2030 la population de plus de 75 ans va augmenter de 50 %.

• ·Pénurie de médecins, multiplication des déserts médicaux.

• ·Mauvaise gestion des ressources et inefficacité administrative.

• ·Faible coopération entre médecine publique et privée.

• ·Poids excessif du lobbying et de la bureaucratie.

Les dysfonctionnements du système

• ·Trop de réglementation, d’instances administratives, avec un ministère de la Santé inefficace.

• ·Rôle discutable des Agences Régionales de Santé (ARS) et de la Sécurité Sociale.

• ·Défaillance manifeste dans la gestion des crises sanitaires.

• ·Inégalités territoriales et économiques dans l’accès aux soins.

• ·Politique industrielle de la santé inadaptée, menant à une dépendance extérieure.

Propositions de réforme

·Réorganisation du système de santé :

simplification des structures administratives,

réduction des agences et recentrage de celles-ci sur les soins.

Responsabiliser tous les acteurs par des mesures financières stimulantes basées la réalisation d’objectifs.

·Augmentation du nombre de médecins et paramédicaux :

création de nouveaux types de postes pour les paramédicaux afin de seconder les médecins.

Meilleure formation et certification des médecins pour diminuer les coûts.

·Modernisation des hôpitaux :

gestion plus décentralisée et transparente,

suppression du secteur privé dans les hôpitaux publics,

direction tricéphale (administrative, médicale, soignante).

Développement de la médecine de proximité :

soutien aux médecins généralistes,

incitations à l’installation en zones désertiques.

·Création d’un Conseil National des Métiers de la Santé :

coordination entre professionnels, experts et administration pour définir les grandes orientations :

Le nombre de médecins et soignants à former  

La gestion des grandes menaces sanitaires (épidémies, canicules, guerres… )

La politique de prévention (les priorités, la médecine scolaire) 

Les problèmes de société : PMA, fin de vie 

La certification des médecins

La formation continue des médecins et des soignants

La politique industrielle de la santé et les rapports avec l’industrie Pharmaceutique 

Les principes de la répartition des établissements de santé

Les conflits entre spécialités : qui fait quoi ?

 

·Mise en place d’un véritable Dossier Médical Partagé (DMP) efficace :

numérisation des données patients pour une meilleure coordination des soins,

une réduction des dépenses inutiles et des financements adaptés à l’activité.

Augmentation de la motivation des soignants (médecins et paramédicaux):

Moduler leur rémunération en la rendant plus juste dans sa répartition entre ’hôpital et ville, entre les territoires et les spécialités.  

Assurer la collaboration et la complémentarité des acteurs publiques et privés avec des financements et des rémunérations similaires pour des prises en charge identiques.

 

Il y a donc nécessité d’une réforme ambitieuse et pragmatique, avec un financement basé sur toutes les économies possibles et la responsabilité des citoyens. Seule’une vraie révolution, redonnera de l’espoir à toutes les personnes qui n’ont pas démérité devant la nation tout entière. Le plus difficile sera de surmonter la méfiance, voire l’opposition de certains syndicats médicaux et ceux des fonctionnaires. Il faudra surtout affronter la réticence des administratifs qui « n’aiment pas beaucoup les soignants et les médecins ».

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Au cours de cette dernière décennie, l’état a réussi à réformer avec succès certaines administrations. On peut citer la poste, la défense nationale et les finances publiques.

 Alors, gardons espoir, quand notre pays sera, à nouveau, gouverné, et nos finances redressées, une réforme de la santé deviendra un objectif réalisable dans les cinq ou dix prochaines années.

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Il est urgent d’assimiler les Algériens qui vivent en France

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L’assimilation des émigrés du Maghreb en France est une nécessité pour les raisons suivantes. En 2070, il est probable qu’ils représenteront 50% de la population Française. Ce sont eux qui vont payer les retraites de nos enfants et qui vont élire nos dirigeants. Leur intégration est complexe car elle se heurte à de nombreux obstacles, notamment religieux, politiques, sociaux et économiques.

·        L’islam :

véhicule des préceptes qui sont en contradiction avec nos valeurs républicaines : leur expression la plus extrême prône la guerre sainte ou Jihad et le « mépris » des femmes. L’état doit réaffirmer nos principes républicains et les faire accepter et respecter

·      Sentiment de non-appartenance :

De nombreux maghrébins ne se sentent pas français, exacerbés par les défauts perçus de la civilisation occidentale et les influences de leurs pays d'origine.

 

·      Régimes non démocratiques :

Les pays du Maghreb sont majoritairement non démocratiques, ce qui déforme la perception de la démocratie chez leurs ressortissants.

 

·Contentieux de la colonisation :

Le conflit historique entre la France et l'Algérie autour de la colonisation continue de peser sur les relations et leur intégration.

 

·      Guerres entre l'Occident et l’Islam :

Les nombreux conflits entre l'Occident et le monde musulman renforcent le ressentiment des musulmans envers l'Europe.

 

·      Problèmes économiques :

L'intégration économique des émigrés est essentielle, mais elle a un coût. Elle est difficile en raison de notre dette, de notre modèle social d’assistance et d’une mauvaise organisation

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Répression de la délinquance

​La lutte contre la délinquance et le trafic de stupéfiant est essentielle pour vivre ensemble, nécessitant des mesures strictes et une réforme de notre justice.

 

Nous avons pris beaucoup de retard dans ce processus d’intégration. Ceci peut avoir des conséquences.

 

Ces personnes désemparées sont soumises à une propagande provenant principalement, des dirigeant de leur pays, des frères musulmans et de certains de nos partis politiques. 

 

Si l’état français ne fait rien pour réellement les intégrer on risque dans les années qui viennent une guerre civile larvée ou bien réelle avec des populistes au pouvoir.